Les bombardements alliés poussèrent beaucoup d’habitants de Hambourg à trouver refuge à « Prora ». À la fin de la guerre, les bâtiments servirent de logement à la Luftwaffe puis aux réfugiés allemands expulsés des Sudètes. En 1945, l’Armée rouge prit le contrôle de la région et établit une base à « Prora ».
Après 1945, « Prora » fut décrété zone militaire par les soviétiques, puis par l’armée est-allemande à partir de 1952, qui l’utilisa comme caserne pour ses parachutistes (notamment des troupes d’élites) ainsi que de lieu de formation pour des rebelles du Mozambique, d’Angola ou de Palestine ; de ce fait il ne figurait plus sur aucune carte.
En 2010, des pans entiers du « Colosse de Rügen », aux fenêtres éventrées, menaçaient de tomber en ruine. Classé au patrimoine national allemand depuis 1994, il n’était pas question de le faire sauter. Le coût d’un simple ravalement d’un des huit blocs est estimé à plusieurs dizaines de millions d’euros.
Caspar David Friedrich a eu les honneurs du musée des Beaux Arts de Rouen.
Une exposition temporaire consacrée aux “Romantiques du Nord” a eu lieu fin 2001.
Une conférence lui a aussi été dédiée en 2018.
Ce tableau est exposé en Suisse. Mais, bon, pour les avoirs vues, ces falaises ne valent pas celles d’Etretat !!