Mi-octobre, l’artiste franco-allemand Jan Vormann a réalisé une oeuvre de réparation des impacts d’obus et de balles datant de la seconde guerre mondiale sur le Palais de justice de Rouen, notamment côté station Métrobus à proximité de l’ascenseur aérien.
Certains passants ont apprécié qu’il redonne un peu de couleur à ces murs meurtris, d’autres moins. A ses détracteurs et aux indignés, il répond qu’il souhaite mettre en valeur ces cicatrices murales pour “ne pas nier le passé”.
Les Legos sont apposés, ils ne sont pas collés. Il s’agit d’une œuvre éphémère…